Préparer l’hiver grâce aux bienfaits de l’extrait de pépin de pamplemousse
A l’approche de l’hiver, et à chaque changement de saison, notre corps se fait plus fragile et nous devenons plus vulnérables aux maladies et virus en tous genres. Parce que les antibiotiques ne sont pas automatiques mais que surtout ils sont loin d’être une solution, se pencher vers des solutions plus naturelles s’avère être un choix judicieux, notamment en matière de préservation de notre capital santé. Focus sur l’EPP, un élixir de jouvence, qui semble avoir tout bon et que l’on devrait toujours garder à porter de main. Décryptage…
Quand la nature nous offre ses trésors
A l’époque où les scandales liés à la malbouffe et à l’allopathie se suivent et se ressemblent, l’heure est à la prudence pour le consommateur qui aspire à davantage de transparence concernant notamment sa santé.
Depuis plusieurs décennies, les adeptes des médecines naturelles s’attèlent à défendre les nombreuses vertus de l’extrait de pépins de pamplemousse qui agirait comme un antibiotique et serait capable de soigner en traitement de fond ou en cure d’attaque des pathologies telles que les infections urinaires, les bactéries et parasites mais aussi les problèmes orl ou encore les invasions mycosiques.
Antibiotique et antioxydant, l’EPP fait partie des traitements de choix recommandés notamment par les professionnels de la médecine holistique.
Des applications multiples
Adultes, enfants, plantes et mêmes animaux, l’EPP est bénéfique à tous les êtres vivants grâce à sa composition riche en vitamine C et bio flavonoïdes. Il s’utilise en externe comme en interne. Ratissant large, il doit toutefois être consommé avec parcimonie notamment pour palier aux éventuelles interactions médicamenteuses.
Le dosage doit être adapté au poids et à la pathologie à soigner. Vous en trouverez dans toutes les épiceries bios qui se respectent. Favorisez ceux à la glycérine végétale et sans ajout de vitamine C.
Un cocktail de bien être qui vous aidera à prévenir l’apparition des premiers syndromes grippaux et états fébriles, coutumiers des premiers refroidissements.
Crédit photo : medisite
